Extrait de Keyboards n° 110 mai 1997 - chronique discographique par Olivier CAUVIN
   "Voici un groupe régional qui mériterait une réputation nationale.[...].
    Amateurs de jazz acoustique de haut niveau, cet album vous réjouira par ses qualités d'interaction, de plaisir de jouer et d'écoute."

Extrait de Jazzman n° 26 juin 1997 - chronique discographique par Arnaud MERLIN
      "Subtilement emmenés par le batteur Philippe Valentine, les musiciens de ce quartet bordelais connaissent bien leur affaire, qui tourne rond. Et si la thématique est du genre efficace, elle ne bride pas les interventions des solistes, parmi lesquels le saxophoniste Hervé Fourticq semble le mieux tirer son épingle du jeu. On apprécie par ailleurs le jeu très chantant du bassiste Dominique Bonadei, responsable d'une bonne part du répertoire.[...]"

Extrait de Gironde Magazine n° 51 octobre/novembre 1997 - chronique discographique par Xavier DAVERAT
   "Il y a tellement longtemps que Francis Fontès (piano), Hervé Fourticq (saxes), Dominique Bonadei (basse) et Philippe Valentine (batterie) se produisent sur les scènes bordelaises, sans avoir éprouvé le besoin d'enregistrer, qu'on avait pris le parti d'une familiarité exclusivement live avec ces musiciens. Le disque de ce quatuor (Affinity Quartet) qui vient de paraître (avec la complicité de Philippe Drouillard à la guitare sur un titre), jusqu'alors inespéré, est donc le bienvenu.
    On ne s'étonnera pas, si l'on connaît les interprètes, que cette musique soit sans surprises quant à l'esthétique développée (même si le répertoire est exclusivement consacré à des compositions originales de chacun des musiciens). Mais, au-delà d'un cadre étroitement balisé - le courant hard bop -, c'est la manière très festive de dérouler le répertoire qui saisit à l'audition de ce disque.[...]
    C'est un hédonisme hard bop qui s'impose ici, de manière parfaitement convaincante.[...]
    Soit en fin de compte l'image d'un classicisme, ni redondant ni ressassant, qui vient nous rappeler que les quatre musiciens, fermement installés dans un courant dominant du jazz, sont parmi les meilleurs de la scène autochtone. Mais aussi l'occasion de convenir que pareil disque tient fièrement son rang dans l'ensemble de la production hexagonale."

Chronique Sud-Ouest par Philippe MEZIAT du 23/04/97 (concert du 22/04/97, David Sanchez Quartet, Affinty Quartet en première partie, salle du Vigean à Eysines)
   "[...] On retiendra donc, de la première partie, un superbe "softly, as in a morning sunrise ", redécoupé par un groupe local, Affinity, en grande forme, avec un Philippe Valentine magistralement précis, puissant et délicat. Ses amis Fourticq, Fontès et Bonadei sont à associer à cette très belle prestation."

Chronique Sud-Ouest par Arnaud VAULERIN du 04/08/97 (Festival de Blaye, soirée du 02/08/97)
   "[...] Ainsi, l'occasion était donnée de montrer toutes les facettes du jazz. Affinity Quartet s'est attaché à en présenter une image rythmée, orchestrale et parfois très fouillée, [...]"

Chronique Sud-Ouest par Philippe MEZIAT du 06/07/98 (Festival de Monségur, soirée du 04/07/98)
   "[...] Un public visiblement heureux d'être là, [...], circulant entre la place des Tilleuls où les concerts sont libres d'accès (Affinity Quartet, excellents et séduisants), [...]"

Chronique Le Monde par Francis Marmande du 07/08/05 (Festival de Marciac, concert off du 04/08/05)
   "[...] La synthèse de ces vertus, c'est la place de la mairie [...] sa promenade, et son podium où se succèdent, chaque jour, quatre ou cinq orchestres d'une classe et d'un renom qui ne défriseraient pas d'autres grands festivals. [...] On tombe sur Affinity Quartet : ça sonne vraiment. De toute façon, partout au monde, le niveau global des musiciens s'est élevé. On pourra regretter à l'infini la disparition des fous. Le système les a soigneusement éjectés. Cela dit, Affinity Quartet, dans son Raffie dédié à Michael Brecker ou In a Sentimental Mood , vient de rejoindre, en version contrôlée, le quartette de John Coltrane du début des années 1950. C 'est énorme et cela procure un plaisir curieux. [...]"